021826 La disparition en 1922 de l’Empire Ottoman ouvre sur un 20e siècle plein de bruit et de fureur

  • Dates des cours : 3oct-10oct-17oct-7nov-14nov-21nov-28nov-5déc-12déc-19déc-9janv-16janv
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Alain MIOSSEC


Alain MIOSSEC

Mustafa Kémal, Ben Gourion, Nasser, Bourguiba, Hafez El Assad, Saddam Hussein, Khomeini ; d’autres encore. Tous, à un moment donné, ont incarné une certaine vision de leur peuple et du territoire dont ils avaient la charge. Autocrates pour la plupart, ils ont été le produit des turbulences voire des séismes dont il reste encore des répliques qui ont suivi les traités de Sèvres puis de Lausanne mettant fin à l’Empire Ottoman. C’est à ces hommes et à ce siècle de turbulences marqués de conflits que s’attache ce cours, autour d’un paradoxe car globalement tous ces territoires étaient ceux de l’Islam, un Islam qui jamais n’était apparu capable de fédérer les hommes autour d’un projet territorial. Même si les braises de l’Islamisme, de cet Islam politique, brûlent ici ou là… sous la cendre des conflits.

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021901 Les Balkans occidentaux, Albanie et ex-Yougoslavie

  • Dates des cours : 23janv-30janv-6févr-27févr-6mars-13mars-20mars-27mars-3avr-24avr-15mai-22mai
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Jean-Marc BARTNIK


Jean-Marc BARTNIK

Faire découvrir un espace européen avec ses peuples et ses cultures.
Marquée par une grande diversité et instabilité, nous verrons comment cette région a toujours subi des influences extérieures.
L’étude du milieu géographique et de l’Histoire occupera une place importante et nous permettra d’apprécier cette belle région européenne.

  • Un milieu naturel marqué par le calcaire et l’eau vive
  • Des nations aux cultures diversifiées, un monde ouvert aux influences extérieures
  • Du partage de 395 à Soliman le magnifique
  • L’éveil national
  • La tragédie des deux guerres mondiales
  • Deux expériences communistes nationales
  • La fin d’un monde
  • Bilans et perspectives
  • Itinéraires de découverte touristique

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021902 Mythes et mystères d’hier et d’aujourd’hui

  • Dates des cours : 2oct-16oct-13nov-27nov-11déc-8janv-22janv-5févr-5mars-19mars-2avr-30avr
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Mercredi
  • Intervenant : Lauric GUILLAUD


Lauric GUILLAUD

L’homme a toujours été passionné par les mystères, qu’ils soient religieux, ésotériques ou historiques. Pourquoi l’Atlantide, le Graal ou les OVNIS continuent-ils de fasciner les chercheurs ou le grand public, tandis que surgissent des mythes ‘modernes’ comme Rennes-le-Château ? Quel sens donner à ce phénomène ?

  • Mythes et mystères d’hier et d’aujourd’hui, de l’énigme de l’Atlantide à celle de Rennes-le-Château
  • Introduction : définition et survol historique des mystères. Permanence de l’irrationnel
  • L’Atlantide, mythe ou réalité ? : survol de l’atlantologie, de Platon à aujourd’hui ; l’Atlantide des savants, des romanciers, des occultistes et des cinéastes
  • Le Graal, du Moyen Age à aujourd’hui : aux sources de la fantasy. La quête du Graal et la légende arthurienne ; le Graal spirituel et sécularisé ; avatars littéraires et picturaux du Graal
  • Les OVNIS : croyance et pseudo-science ; histoire d’un mythe ; prolongements sectaires, littéraires et cinématographiques
  • Les sociétés secrètes dans l’histoire : paranoïa et conspiration ; Templiers, Illuminés et francs-maçons ; le roman policier ésotérique
  • Le pseudo-ésotérisme nazi : réalité et fiction ; occultisme et pangermanisme ; Le Matin des Magiciens ; pérennité d’un mythe délirant..
  • Rennes-le-Château, un mythe moderne ? : historique (les aventures de l’abbé Saunière, le trésor des Mérovingiens, la descendance de Jésus) ; le Da Vinci Code ; réalités et affabulations ; du mythe à la mythomanie.
  • Conclusion : assisterions-nous à une défaite des Lumières ?

Chaque cours est accompagné d’un diaporama.

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021910 L’histoire de l’alimentation

  • Dates des cours : 14oct-18nov-25nov-2déc-9déc-16déc-13janv-20janv-27janv-24févr-3mars-10mars
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Dominique COMELLI


Dominique COMELLI

Que mangent les hommes depuis la Préhistoire? Comment préparent-ils leur alimentation? Parler d’alimentation, c’est parler de cuisine, de gastronomie, d’anthropologie, de médecine, d’économie, de nutrition .. et de plaisir !

Les Français ont la réputation d’adorer parler de la nourriture: avant le repas, pendant le repas, après le repas. Et nous parlerons pendant tout ce cours de l’alimentation … c’est un sujet inépuisable, et qui concerne tout le monde. Chacun a une expérience de l’alimentation, comme consommateur ou comme cuisinier. Parler de l’alimentation, c’est parler des produits, de leur histoire, de leur circulation, des manières de les préparer et de les déguster, de l’organisation économique , d’anthropologie , de sociologie, de médecine et de nutrition..
Nous commencerons par la Préhistoire, histoire de sortir de quelques idées reçues. Puis nous aborderons l’histoire de l’alimentation dans l’Antiquité, qu’elle soit du Moyen-Orient ou de la Méditerranée. Nous nous familiariserons avec la cuisine du Moyen-Age, avant d’affronter le grand choc de la mondialisation après 1492, avec sa circulation des produits à l’échelle de la planète. Nous aborderons les choses sérieuses et la grande gastronomie française avec Louis XIV, père de la cuisine saucière et beurrière qui est la spécificité de la cuisine française gastronomique. Le XIXème nous précipitera dans un monde où manger devient le bonheur des riches, mais aussi dans les ruptures et la naissance de l’agro-alimentaire, avant d’aborder les caractéristiques des changements de l’alimentation actuelle, pour le meilleur et pour le pire, avant de présenter les enjeux actuels.
Vous bénéficierez aussi de recettes de cuisine romaine et médiévale…

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021920 De Saint Petersbourg à Moscou Histoire et histoire des arts de la Russie et de l’URSS (XIXe s. – XXIe s.)

  • Dates des cours : 2oct-16oct-13nov-27nov-11déc-8janv-22janv-5févr-5mars-19mars-2avr-30avr
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Mercredi
  • Intervenant : Thierry PIEL


Thierry PIEL

Sous les empereurs Paul Ier, Alexandre Ier et Nicolas Ier s’impose un néoclassicisme à la russe désigné sous le nom de « style Empire » mais au cours du XIXe siècle ne tarde pas à s’inviter un courant slavophile soucieux de renouer avec les temps médiévaux ou à tout le moins antérieur à Pierre le Grand devenus pour ceux qu’inquiètent alors les mouvements anarchistes et socialistes ceux d’une Russie sublimée.
Très endommagée lors de l’incendie qui la ravagea en 1812 durant la campagne de Russie, Moscou renaît de ses cendres au XIXe siècle développant à l’aune de Saint-Pétersbourg une architecture oscillant entre néo-classicisme, éclectisme historiciste et revival traditionaliste russe.
Les révolutions de 1917 marquent une importante rupture avec le retour du centre du pouvoir à Moscou. Le patrimoine religieux sera durant ces temps nouveaux sérieusement écorné par une politique de confiscation voire de destruction qui culminera dans les années 1930. Paradoxalement les courants artistiques avant-gardistes qui avaient bien accueilli le renversement de l’autocratie tsariste ne tardent pas à être condamnés par des autorités soviétiques imposant un prétendu « réalisme socialiste ». Nombre de constructions réalisées jusque dans l’après Seconde Guerre mondiale adoptent un style académique directement issu du « style Empire » du siècle précédent. Des formes et des décors dits « nationaux » ont également développées dans certaines Républiques Socialiste mêlant académisme classique et héritages artistiques médiévaux.
Avec la fin de l’U.R.S.S., les autorités politiques et religieuses de Russie, Vladimir Poutine en tête, se sont engagées dans une démarche visant délibérément à restaurer voire rebâtir nombre d’édifices principalement religieux détruits ou endommagés par les Soviétiques sur fond de discours patriotique sur la Russie éternelle.

 

021930 De Moscou à Saint Petersbourg Histoire et histoire des arts de la Russie (XVIIe s. – XVIIIe s.)

  • Dates des cours : 9oct-6nov-20nov-4déc-18déc-15janv-29janv-26févr-12mars-26mars-23avr-7mai
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Mercredi
  • Intervenant : Thierry PIEL


Thierry PIEL

Passé le temps des troubles, la Russie connaît tout au long du XVIIe siècle un nouvel âge d’or architectural qui, intégrant certains décors occidentaux tout en conservant les formes du siècle d’Ivan le Terrible, culmine à la fin du siècle avec le « style Narychkine » en une apothéose baroque.
À l’orée du XVIIIe siècle, animé par une irrépressible volonté de modernisation de l’empire Russe, le tsar Pierre le Grand fonde sur l’estuaire de la Neva, un arsenal qui devient la nouvelle capitale de l’Empire.
Cette ville de pierre, Saint-Pétersbourg, va s’imposer désormais comme la vitrine occidentale de la Russie, tout particulièrement sous les règnes des impératrices Élisabeth Ière et Catherine II la Grande. Sous le règne de la seconde, abandonnant le Baroque de Carlo Bartolomeo Rastrelli, la Russie se tourne délibérément vers le style résolument néoclassique de Charles Cameron et Giacomo Quarenghi.

021950 Histoire et chansons françaises

  • Dates des cours : 16nov-7déc-11janv-25janv-15mars-29mars
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Samedi
  • Intervenant : Jean GUIFFAN


Jean GUIFFAN

ATTENTION dates non programmées

La chanson française au début de la Ve république (1958-1963)
Au début de la Ve République, la chanson française continue à bien se porter, résistant aux invasions anglo-américaines, avec de nouveaux auteurs-compositeurs comme Serge Gainsbourg, Barbara, Bobby Lapointe, Hugues Aufray, Alain Barrière, Jean Ferrat… qui s’ajoutent aux valeurs sûres comme Georges Brassens, Charles Aznavour, Jacques Brel, etc, toujours en piste…

Après une courte présentation de chaque année étudiée, les participants sont appelés à interpréter les chansons choisies dont le texte leur est distribué, l’historien les accompagnant au piano.

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021955 Blues et jazz : reflets de l’histoire sociale et politique des Africains-Américains

  • Dates des cours : 3oct-10oct-17oct-7nov-14nov-21nov-28nov-5déc-12déc-19déc-9janv-16janv
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Jean-Marc BARTNIK


Jean-Marc BARTNIK

Connaitre les contextes historiques et géographiques dans lesquels se sont développés le blues et le jazz.
En arrivant en Amérique, les esclaves déportés d’Afrique, plongés dans une société puritaine et rationaliste, perdent leur identité culturelle. Peu à peu, ils réinventent un langage musical, qui les accompagne au quotidien ( travail, église, fêtes…). Rapidement le blues et le jazz se différencient en fonction des régions et de l’évolution de la communauté afro-américaine. Ces styles expriment leur colère, leur volonté d’assimilation et aussi leur désillusion.

  • Plantations et esclavage
  • La ségrégation dans le sud
  • Naissances du blues et diversification des styles
  • Le jazz d’avant guerre
  • La révolution bebop
  • Remarquable destin du blues du Delta
  • Free jazz et black power
  • Quelques musiciens remarquables : Duke Ellington, Charlie Parker, Miles Davis, Sun Ra

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021960 Ouvriers et paysans de Loire-Atlantique Cycle 1

  • Dates des cours : 7oct-14oct-4nov-18nov-25nov-2déc-9déc-16déc
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 11:30
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Christophe PATILLON


Christophe PATILLON

Faire connaître la richesse de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique et de l’Ouest en partant de luttes et d’événements marquants. A noter : les cycles sont indépendants les uns des autres et aucune connaissance en histoire sociale n’est requise !

  • 1833, les typographes nantais et la défense du métier. En mai 1833, soixante-quinze ouvriers imprimeurs soutiennent par la plume le projet porté par quelques-uns d’entre eux de faire reconnaître par les autorités une association philanthropique… mais qui ne cache pas pour autant sa nature revendicative. Elle fut pour certains le premier syndicat créé en France. Disons, plus humblement, qu’elle a ouvert avec d’autres les chemins de l’émancipation collective des travailleurs.
  • La fin des « anarchos » : Nantes et la grève des dockers (1907). Du fait de l’irrégularité du trafic portuaire, le travail des dockers est marqué par la précarité à Nantes, comme dans tous les ports du monde. Les dockers constituent un véritable prolétariat en haillons… qui veut cesser de l’être. Le conflit de 1907 lui en offre l’occasion.
  • La décennie noire du syndicalisme (1922-1935). La CGT sort déchirée de la Première Guerre mondiale, et les conflits internes ont raison d’elle. La minorité révolutionnaire fonde la CGT-Unitaire en 1921 persuadée que la révolution est à l’ordre du jour. Commence alors une période sombre pour le mouvement ouvrier…
  • « Ils ont tué Rigollet ! » : 1955, une révolte ouvrière en Basse-Loire. Le conflit de 1955 occupe une place à part dans l’histoire sociale de la Loire-Atlantique par sa durée et sa dureté. Six mois durant, à Saint-Nazaire puis à Nantes, il a remis la classe ouvrière au coeur de l’actualité politique et sociale.
  • 1969, Guichard au Dresny : un ministre dans la boue. Nous sommes le 16 novembre 1969. Au Dresny, on s’affaire pour recevoir un ministre, en l’occurrence Olivier Guichard, baron du gaullisme. Le député-ministre a prévenu que son passage serait rapide : trente minutes pas plus, car il est attendu à Nantes. Il ne se doutait pas qu’un groupe de jeunes paysans avait un autre programme en tête.
  • Le baroud d’honneur : les dockers et la grève de 1991-1992. Le 20 août 1947, les parlementaires votent, sans discussion et dans l’urgence, la réforme de l’organisation du travail dans la manutention portuaire que lui soumet le gouvernement Ramadier. Le 6 septembre 1947, la loi est promulguée. Elle dote enfin le docker d’un statut sécurisant son intermittence, l’arrachant en somme à la précarité. Son maintien est au coeur du conflit social des 1991.

N’hésitez pas à visiter la bibliothèque du Centre d’histoire du travail (RDC du bâtiment Ateliers et Chantiers de Nantes). L’emprunt d’ouvrages y est possible gratuitement.

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021961 Ouvriers et paysans de Loire-Atlantique – Cycle 2

  • Dates des cours : 13janv-20janv-27janv-3févr-24févr-3mars-10mars-17mars
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 11:30
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Christophe PATILLON


Christophe PATILLON

Faire connaître la richesse de l’histoire sociale de la Loire-Atlantique et de l’Ouest en partant de luttes et d’événements marquants. A noter : les cycles sont indépendants les uns des autres et aucune connaissance en histoire sociale n’est requise !

  • Les vignerons et les « rouges » (1891-1914). Dans un courrier de décembre 1891, le socialiste Brunellière écrit à son ami Augustin Hamon : « Les syndicats de vignerons ont été organisés par des délégués de l’Union syndicale de Nantes et par moi. (…) Le Progrès, journal opportuniste, prétend que c’est l’organisation d’une nouvelle jacquerie. C’est ce qui arrivera si les propriétaires veulent voler leurs colons et leurs fermiers. » Les vignerons, menacés par leurs propriétaires et le phylloxéra, sont en colère et le font entendre sur ces terres réactionnaires.
  • Les coopératives et la loi du marché (1920-1940). Le 23 avril 1934, la Banque des coopératives de France, forte de douze agences régionales dont l’une fixée à Nantes, dépose son bilan. Comment expliquer une telle faillite ? Certains y voient une funeste conséquence de la crise économique  de 1929 mais d’autres pointent la politique irresponsable de dirigeants coopératifs…
  • Les grèves de 1953 en Loire-Atlantique. « Les travailleurs ne viennent pas dans vos réunions, c’est vrai ; encore faut-il que vous en recherchiez les raisons, mais n’oubliez pas que, malgré cela, les travailleurs ruminent. » Le militant qui tient ces propos en février 1953 n’est pas un inconnu. Il se nomme Benoît Frachon. Il ne sait pas que l’été venu, une grève massive va toucher la fonction publique, mais pas seulement. En Loire-Atlantique, les métallos sont aussi de la partie. Retour sur une page méconnue de l’histoire sociale nationale.
  • Mai 1968, Nantes s’embrase. « La Commune de Nantes », tel est le titre du livre que Yannick Guin consacre au mouvement de mai-juin 1968 à Nantes. La référence au mouvement parisien de 1871  est osée, certes, mais elle rappelle que le  « Mai nantais » fut exceptionnel, fruit d’une histoire sociale dont les caractéristiques essentielles ne se retrouvèrent nulle part ailleurs.
  • Les paysans contre l’agrobusiness : histoire de veaux et d’hormones. Souvenez-vous : c’était le temps où les escalopes de veau achetées au supermarché rapetissaient comme par magie le temps d’une cuisson. En septembre 1980, ce veau qui fond dans la poêle est l’objet de toutes les attentions. On le savait sans intérêt gustatif, on le soupçonne dorénavant d’être dangereux pour la santé…
  • Chantelle 1981 : la colère des petites mains. Chantelle est une  société textile créée en 1876 par un ingénieur parisien, Auguste Gamichon, qui a mis au point une machine permettant de fabriquer un tricot élastique, produit alors très innovant. Un siècle plus tard, il établit une usine à Saint-Herblain. Et c’est ici que des ouvrières sont se révolter contre les cadences qu’on leur impose et un management vexatoire.

N’hésitez pas à visiter la bibliothèque du Centre d’histoire du travail (RDC du bâtiment Ateliers et Chantiers de Nantes). L’emprunt d’ouvrages y est possible gratuitement.

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