021510 Construire l’Europe. Histoire de l’européisme à l’épreuve des crises et mutations (1918-1973)

  • Dates des cours : 7janv-14janv-21janv-28janv-4févr-25févr-4mars-11mars-18mars-25mars-1avr-22avr
  • Heure de début du cours : 15:45
  • Heure de fin du cours : 17:45
  • Jour du cours : Mardi
  • Intervenant : Claire TOUPIN-GUYOT


Claire TOUPIN-GUYOT

« Je savais que de nouveau tout le passé était bien passé, que tout ce qui avait été fait était réduit à néant – l’Europe, notre patrie, pour laquelle nous avions vécu, était détruite pour un temps qui s’étendrait bien au-delà de notre vie », Stefan Zweig

« J’aime trop mon pays pour être nationaliste », Albert Camus

Alors que l’Union européenne connaît plusieurs difficultés majeures et que les tentations de replis nationalistes se multiplient, ce cours se propose de revisiter la généalogie intellectuelle et politique de la construction européenne depuis l’entre-deux-guerres. Histoire d’une idée qui paraît assez simple : améliorer les conditions de paix, de solidarité, de prospérité des peuples dans un espace donné et dont la difficile mise en oeuvre renvoie à la complexité des forces historiques européennes et aux replis nationalistes.

Chapitre 1 : Les paradoxes de la Grande Guerre

La guerre : la fin de l’Europe
La « Der des Ders » : la faim de l’Europe

Chapitre 2 : « Ni amis ni ennemis éternels, seulement des intérêts éternels » (Lord Palmerston)

Sur les cendres de l’équilibre européen
Retrouver l’Europe

Chapitre 3 : Vers un dépassement de l’Etat-nation

De la « Guerre froide » (Raymond Poidevin) au rapprochement franco-allemand
Le Grand Dessein de Briand

Chapitre 4 : Surmonter les crises européennes

Un activisme renouvelé et fervent
Repenser les projets européens à l’heure du nazisme

Chapitre 5 : La Seconde Guerre mondiale : le temps des choix

« Au fond nous nous leurrions, il n’y avait pas d’Europe» (Henri Irénée Marrou)
Des actes antinazis pro-européens

Chapitre 6 : Une Europe par défaut

Les réalités de l’après-guerre
L’inexorable construction de la Communauté européenne entre dépendance et reprise en main

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021511 Histoire de l’Empire ottoman, 1774-1923

  • Dates des cours : 7janv-14janv-21janv-28janv-4févr-25févr-4mars-11mars-18mars-25mars-1avr-22avr
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:30
  • Jour du cours : Mardi
  • Intervenant : Claire TOUPIN-GUYOT


Claire TOUPIN-GUYOT

Le 10 juin 2015, le Groupe « État Islamique » franchissait en bulldozer la frontière entre l’Irak et la Syrie et postait sur la cybersphère djihadiste la photo d’un mur de sable avec en légende : « Briser la frontière Sykes-Picot » (frontière imaginée en 1916 secrètement pour démanteler définitivement l’Empire ottoman).
Présenter l’histoire des deux derniers siècles de l’Empire ottoman, c’est non seulement comprendre pourquoi cet empire a péri, mais c’est aussi comprendre que depuis sa fin, en 1923, aucune réelle solution politique et territoriale n’a été mise en place. Ce cours est l’occasion de comprendre l’évolution des équilibres internes, de cerner les violences politiques contre les minorités chrétiennes ou juives mais aussi les violences occidentales sur un empire moribond ou encore d’analyser les processus de modernisation et de sécularisation pensés et mis en œuvre par les élites ottomanes.

Un phénomène de désagrégation : en 150 ans, l’Empire perd tous ses territoires.
Deux explications traditionnelles : la Question d’Orient et le principe des nationalités.
Une rencontre à trois : le Turc, l’Arabe et l’ »inévitable » Occidental.

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021513 Du tsar à Poutine : histoire de l’URSS et de son effondrement

  • Dates des cours : 15oct-5nov-12nov-19nov-26nov-3déc-10déc-17déc-14janv-28janv-4févr-4mars
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Mardi
  • Intervenant : Dominique COMELLI


Dominique COMELLI

Spécialiste de l’histoire romaine, Dominique Comelli a consacré sa thèse au traitement de l’Antiquité dans la littérature jeunesse. Elle a enseigné l’Histoire au lycée expérimental de Saint-Nazaire et a écrit de nombreux articles sur l’enseignement et la littérature jeunesse. Elle est aussi l’auteur d’un essai : « Comment on enseigne l’histoire à nos enfants », publié chez Atalante en 2001. « Les esclaves de Rome », paru chez Milan Jeunesse est son premier roman.

L’URSS a vécu peu de temps : 70 ans. Mais cet État a joué un rôle essentiel dans l’histoire du XXème siècle et continue à laisser son empreinte.  Le cours présentera rapidement la Russie, puis analysera ce qu’on appelle URSS et permettra d’aller jusqu’à l’analyse du poutinisme.

L’invasion de l’Ukraine a réactivé le désir de comprendre ce qui se passe en Russie, et donc ce qui s’est passé pendant les 70 ans qu’a duré cet État appelé URSS. L’histoire de l’Urss et de son échec n’est pas seulement l’histoire d’un État : chez les ouvriers du monde entier, chez les peuples colonisés, l’Urss était aussi un espoir messianique d’un monde autre, sans exploitation ni aliénation. La recherche universitaire a progressé énormément ces 20 dernières années, en particulier à l’étranger. On peut maintenant se dégager d’un discours affectif ou engagé (pour ou contre) pour mieux comprendre ce qui s’est passé, les enjeux, les prises de pouvoir.
Nous commencerons d’abord rapidement par la construction de cet État qui dès le début est un empire, et qui, dès le XVIII e siècle construit un « roman national » mythique qui a profondément influencé l’Europe. Cela permettra aussi de rétablir certaines vérités, en particulier sur les débuts de la Moscovie et l’histoire de l’Ukraine. Puis nous aborderons le XIXème siècle et ses contradictions : comment s’insérer dans le monde moderne tout en gardant ses spécificités ? De quel poids pèse la paysannerie ? Comment se développe une classe ouvrière ? Quel est le rôle de l’intelligentsia ?
La révolution de 1917 sera analysée, avec les différents points de vue des historiens, puis la construction de cet État appelé l’Urss : les bolcheviks ont dû improviser sans arrêt , comme les révolutionnaires français ont dû improviser dès 1791.
Nous verrons ensuite la rupture du stalinisme et tous les débats sur sa définition et son fonctionnement. La Grande Guerre patriotique de 1941 à 1945 sera étudiée ensuite, puis la prise du pouvoir par une bureaucratie, de Khrouchtchev à Brejnev. La perestroika et les bouleversements de l’ère Eltsine seront étudiés ensuite. Ces différents éléments nous permettront de comprendre le poutinisme et les impasses actuelles du développement russe.

ATTENTION le 5 novembre remplacera le 25 février initialement prévu et noté sur la plaquette (info du 2 septembre 2024).

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021528 Causes et conséquences de la 1ère guerre mondiale (1914-1918)

  • Dates des cours : 7janv-14janv-21janv-28janv-4févr-25févr-4mars-11mars
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:00
  • Jour du cours : Mardi
  • Intervenant : Jean-Robert TOUVRON


Jean-Robert TOUVRON

Au début du XXème siècle, l’Europe se partage le monde, sûre d’elle-même et de ses valeurs. Elle se croit alors détentrice de « la civilisation ». La « belle époque » permet à chacun d’avoir confiance en l’avenir. En 1918, bien des certitudes se sont évanouies, après cette « guerre civile » à l’échelle européenne, vainqueurs et vaincus sont exsangues. Il faut préparer le monde d’après, un monde de paix.
Nous chercherons à analyser les principales causes et conséquences de celle qu’on appela la « Grande Guerre ».

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021529 Causes et conséquences de la 1ère guerre mondiale (1914-1918) – identique au 021528

  • Dates des cours : 9janv-16janv-23janv-30janv-6févr-27févr-6mars-13mars
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Jean-Robert TOUVRON


Jean-Robert TOUVRON

Au début du XXème siècle, l’Europe se partage le monde, sûre d’elle-même et de ses valeurs. Elle se croit alors détentrice de « la civilisation ». La « belle époque » permet à chacun d’avoir confiance en l’avenir. En 1918, bien des certitudes se sont évanouies, après cette « guerre civile » à l’échelle européenne, vainqueurs et vaincus sont exsangues. Il faut préparer le monde d’après, un monde de paix.
Nous chercherons à analyser les principales causes et conséquences de celle qu’on appela la « Grande Guerre ».

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021530 Les dominations coloniales de 1830 à 1939

  • Dates des cours : 3oct-10oct-17oct-7nov-14nov-21nov-28nov-5déc-12déc-19déc-9janv-16janv
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Jean-Pierre POISSON


Jean-Pierre POISSON

Affiche pour le jardin d’acclimatation  de Paris, 1890

La question de la colonisation revient régulièrement dans l’actualité. On l’a vu avec le débat sur les figures de l’histoire coloniale que certains voulaient faire disparaître du paysage. Les statues qu’il fallait déboulonner, les rues qu’il fallait débaptiser. On le voit encore avec les anciennes colonies qui réclament à leurs anciens colonisateurs les biens qui leur ont été subtilisés. Les questions mémorielles sur la colonisation restent brûlantes.

Vue de Saïgon en 1931

Ce cours entendra répondre à de multiples questions sur les dominations coloniales entre 1830 et 1939. Comment et pourquoi des pays d’Europe, mais aussi les Etats-Unis et le Japon, se sont approprié des territoires africains, américains et asiatiques ? Comment ces pays ont-ils exercé leur domination ? Et comment cette dernière a-t-elle durablement marqué les populations aussi bien dans les colonies que dans les métropoles ? Quelles furent les réactions des colonisés et des métropolitains à ces dominations coloniales ? Le cours insistera davantage sur l’empire colonial français mais évoquera aussi ce qui se passe dans les autres empires, dans une approche comparative. Ce cours qui intègre les recherches historiques récentes s’appuiera sur des cartes, des textes et des images d’époque. Des images de colonisés et de colonies ont été produites et diffusées en quantités considérables, elles seront analysées pendant le cours.

La mission civilisatrice sous le soleil équatorial du Congo, 1924.
Combat dans le Sud-Ouest africain allemand en 1904.
Séance de vaccination en Afrique Occidentale Française au début des années 1930.

Sources des images :  gallica.bnf.fr / Bibliothèque Nationale de France

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021592 Femmes et cinéma

  • Dates des cours : 13janv-20janv-27janv-3févr-24févr-3mars-10mars-17mars-24mars-31mars-28avr-5mai
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:30
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Frédéric HENRY


COURS SUPPRIME / information du 23 sept 2024

Frederic HENRY

« Ne serait-ce pas l’histoire d’une représentation, d’une lutte pour être visible, d’une révolution esthétique pour une révolution sociale ? »
Connaissez-vous Alice Guy-Baché, Loïs Weber, Riobrozkenskaya, Germaine Dulac, Marie Epstein, Ida Lupino, Agnès Varda, Chantal Akerman, Delphine Seyrig, Diane Kurys, Catherine Breillat, Iciar Bollain, Susanne Bier, Agnieska Holland, Margareth Von Trotta, Nicole Garcia, Andrea Arnold, Kathryn Bridgelow, Jane Campion, Céline Sciamma, Jasmila Zbanic, Aïda Begic…? 


A travers une série de courts extraits, le cours proposera en première partie une approche sociale, sociétale et populaire du cinéma, comme miroir grossissant de notre société.
On y retrouvera une vision de la femme à l’écran trop souvent vue par le prisme d’un regard caricatural et cloisonnant à la fois révélateur et véhicule de nos préjugés et stéréotypes : femme enfermée ou fantasmée, ménagère ou femme fatale, sainte ou sorcière, femme rebelle ou garçon manqué… ou alter égo ?
Le cours proposera dans une seconde partie une approche critique de l’image filmique. En s’appuyant sur les recherches menées sur la représentation des femmes, je présenterai des outils d’analyse et de décryptage. Ensemble, nous nous appuierons sur le concept de « male gaze » / « female gaze », démocratisé depuis quelques années en France grâce au travail d’Iris Brey entre autres, ainsi que sur différents outils, tests et méthodes.
Tantôt consensuelle et tantôt polémique, l’idée de ce cours est bien de nous amener à réfléchir individuellement et collectivement aux images que nous percevons, produisons ou reproduisons.
Nous verrons comment derrière ces images, ce sont des messages, conscients ou inconscients, qui sont véhiculés, impactant nos vies d’hommes et de femmes.

021595 Histoire de l’Art cinématographique de 1895 à nos jours

  • Dates des cours : 4nov-18nov-25nov-2déc-9déc-16déc
  • Jour du cours : Lundi
  • Intervenant : Frédéric HENRY
  • Horaires spécifiques : 4 cours de 2h et 2 cours de 3h - 10h-12h ou 9h-12h


Frederic HENRY

Histoire de l’Art cinématographique de 1895 à nos jours, l’histoire d’une rencontre entre 3 univers, le spectateur, la salle de cinéma et le/la cinéaste.

Rencontre avec un cinéaste et son œuvre.

Je vous propose un voyage dans une histoire de l’art,
une histoire de l’art cinématographique,
une histoire de goûts, de techniques et d’expositions.

Les progrès techniques au cinéma, à quoi ont-ils servi, pourquoi et pour qui ?
De 1895 à nos jours, comment cette invention sans avenir comme le disaient les frères Lumière s’est-elle développée dans une dualité de plus en plus forte, entre art et industrie ?
De 1895 à nos jours, en particulier, comment cet art s’est-il noué autour de la création d’un lien (d’une interaction) toujours plus fort avec le spectateur, dans un lieu sans cesse en mutation, la salle de cinéma ?

C’est l’histoire de cette relation, de l’expérience cinématographique, que je vous propose de raconter au travers des progrès des procédés techniques qui ont permis de renforcer cette expérience, les mécanismes qui mènent le spectateur vers l’identification et à « rentrer dans un film ».
En s’appuyant sur l’analyse de nombreux extraits de films de l’histoire du cinéma, c’est aussi une histoire du « comment les émotions ont-elles été suscitées chez le spectateur de 1895 à nos jours ».
Faire rire, faire peur, faire pleurer, faire réagir avec quels artifices les cinéastes se sont-ils employés pour placer les spectateurs au cœur du film ?
C’est toute l’évolution des techniques de mise en scène liées à l’image, aux sons, au jeu, au montage mais aussi à toutes celles qui ont mené au spectacle cinématographique aujourd’hui.

C’est surtout l’histoire d’une rencontre extraordinaire dans un lieu mythique (la salle de cinéma), entre une œuvre cinématographique, un prototype unique, une histoire de vies, avec les spectateurs, autant d’histoires en cours, histoires qui seront peut-être transformées par cette rencontre.

4 séances de 2h pour comprendre cette rencontre, 2 séances de 3h pour la vivre avec un cinéaste en salle de cinéma.

Lundi 4, 18, 25 novembre et 2 décembre de 10h à 12h en salle à l’UP

Lundi 9 décembre de 9h à 12h (séance en salle de cinéma) et  lundi 16 décembre de 9h à 12h (rencontre avec la réalisatrice)

Prévoir 5€ pour la séance où le film sera diffusé

Rencontre avec la réalisatrice au cinéma Bonne Garde

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021601 Atelier de recherches historiques

  • Dates des cours : 11oct-18oct-15nov-29nov-13déc-10janv-24janv-7févr-7mars-21mars-4avr-16mai
  • Heure de début du cours : 10:30
  • Heure de fin du cours : 12:30
  • Jour du cours : Vendredi
  • Intervenant : Rémi FABRE


Le 11oct remplace le 4oct (information du 3oct)

Rémi FABRE

Le but de ce cours est de sensibiliser à la recherche historique, d’apprendre à la pratiquer et à l’évaluer. En utilisant les ressources archivistiques départementales ou municipales, en faisant appel à des sources privées comme à des sources disponibles sur internet, en recueillant le cas échéant des témoignages d’histoire orale, il s’agira de susciter, de mener, d’accompagner des recherches personnelles ou collectives, d’en présenter et discuter les résultats au groupe, et éventuellement de rédiger, de mettre en ligne ou de publier des synthèses.

L’atelier rassemble différents thèmes et initiatives de recherche. Son programme précisé au début des cours s’établit en fonction des centres d’intérêt et des projets de chacun. L’enseignant référent, tout en guidant et suggérant les travaux, peut partager avec les étudiants ses propres travaux ainsi que des mises au point sur des questions d’actualité. En 2023-24, le groupe de travail autour de l’histoire des guerres de Vendée et de la période de la révolution considérées au prisme des archives locales ou régionales sera poursuivi.
Un autre thème à plusieurs concernant la période de la seconde guerre mondiale à Nantes pourra éventuellement être envisagé à la rentrée.
Mais ces perspectives n’épuiseront pas la diversité des thèmes et des recherches individuelles qui peuvent partir de cas particuliers, d’archives familiales ou privées pour insérer les histoires et parcours dans des destins collectifs.
On peut aussi aborder des grands événements (guerres, révolutions, pandémies etc.) dans leur dimension régionale ou sous un angle particulier. Les cours s’accompagnent d’une présentation des ressources archivistiques disponibles et de conseils méthodologiques tant dans le choix des sujets que dans la poursuite de la recherche. Des mises au point historiographiques permettent d’insérer les recherches particulières dans des perspectives plus vastes tenant compte des acquis et des débats historiques.

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021615 Découvrir un territoire de l’empire colonial français : le protectorat au Maroc 1912-1939 à partir de documents du Centre des Archives diplomatiques de Nantes

  • Dates des cours : 4déc-11déc-18déc-8janv-15janv
  • Jour du cours : Mercredi
  • Intervenant : Jean-Pierre POISSON
  • Horaires spécifiques : 9:00 à 12:00 ou 10:00 à 12:00 - 12h sur 5 dates


COURS SUPPRIME / information du 23 sept 2024

Jean-Pierre POISSON

 

Une du Petit Journal du 19 novembre 1911, Gallica.BNF

 

Cette séquence de 12h00 n’est pas un cours habituel.  Au sein du groupe d’étudiants inscrits  seront constitués des équipes réduites d’étudiants, de 3 à 4  étudiants. Chaque équipe  analysera des documents d’époque sélectionnés par le professeur au Centre des Archives Diplomatiques de Nantes.  Les équipes seront guidées et assistées par l’enseignant.

Les objectifs de cette séquence d’ateliers sont de mettre les étudiants de l’UP en situation d’historiens-chercheurs le temps de quelques heures tout en découvrant le protectorat français au Maroc entre 1912 et 1939 ;  et aussi d’effectuer des recherches collaboratives afin d’apprendre en échangeant et d’échanger en créant.

Il n’est pas nécessaire d’avoir déjà des connaissances sur le protectorat français au Maroc. La découverte peut être totale.

Une communication des travaux d’analyse réalisés par les équipes sera envisagée selon les modalités qui seront à définir par les étudiants.

Toutes les séances auront lieu au Centre des Archives Diplomatiques sauf la première qui aura lieu à l’UP.

La séquence suivra le calendrier suivant :

Dates Lieu Durée de la séance Activités
mercredi 4déc, 10h à 12h UPN 2h00 Présentation de la séquence et cours sur « L’empire colonial français sous la IIIème république « 
mercredi 11déc, 9h à 12h Centre des Archives Diplomatiques de Nantes 3h00

Présentation et visite du centre des archives.

Étude en équipes sur des documents et des thèmes proposés.

 mercredi 18déc, 10h à 12h Centre des Archives Diplomatiques de Nantes 2h00 Étude en équipes sur des documents et des thèmes proposés.
mercredi 8janv, 10h à 12h Centre des Archives Diplomatiques de Nantes 2h00 Étude en équipes sur des documents et des thèmes proposés.
mercredi 15janv, 9h à 12h Centre des Archives Diplomatiques de Nantes 3h00 Communication des études réalisées.

Approfondissement méthodologique.